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POLITIQUE (68)

vendredi, Avr 01 2016

Un programme d’encadrement de cette cible a été lancé le 30 mars 2016 à la Mairie de Douala 3ème.

vendredi, Avr 01 2016

La hiérarchie du Rdpc a instruit ses parlementaires de ne plus se prononcer publiquement  sur les questions d’actualité, sans recevoir au préalable l’autorisation de leurs dirigeants. Mais sur le terrain, ces instructions apparaissent comme un panier où l’eau va suinter par mille trous. Illustration.

mercredi, Mar 30 2016

Sosthène Médard Lipot, Secrétaire à la Communication du Mrc : «Le Rdpc est derrière tout cela»

Nous avions une conférence de presse au sein de notre parti politique comme nous en tenions depuis trois ans. Mais nous avons reçu une note du Sous-préfet qui dit qu’elle ne doit pas avoir lieu. Le siège d’un parti politique est un lieu privé. Comme un domicile. Lorsque vous tenez une conférence de presse dans votre siège, vous n’avez besoin de faire de déclaration. C’est comme une réunion familiale que l’on tient dans une maison.

 Il faut souligner qu’au Cameroun ce n’est pas le régime de l’autorisation mais plutôt celui de la déclaration. Lorsque la manifestation est chez vous vous n’avez pas besoin de déclarer. Le sous-préfet a violé la loi constitutionnelle du Cameroun, il a violé la Charte africaine de la démocratie et de la gouvernance que le Cameroun a ratifiée en 2012. Ce qu’ils font là c’est servir un régime qui se dit fort. Le Sous-préfet agit sur ordre du Rdpc.

Cette conférence de presse est au moins la quarantième que nous tenons dans notre siège. Parce que nous en  faisons au moins une par mois. Nous les tenions toujours normalement. Aujourd’hui nous sommes avec des amis politiques, et c’est ca qui les énerve. Pourtant les hommes et les femmes politiques ont l’impérieux devoir d’échanger sur les modifications de la constitution.

Kah Walla, Présidente du Cpp : «L’Etat se met dans l’illégalité »

L’on a vu une  conférence de presse qui ne fait jamais l’objet d’une déclaration, être  interdite. Nous sommes des partis politiques nous faisons des conférences de presse chaque jour, jamais il n’a été question de déclaration. Notre conférence a été interdite pour aucune  raison valable, légale. A partir du moment où l’Etat se met dans l’illégalité, nous demandons au camerounais de se mettre debout. Si nous continuons à permettre cela Dieu seul sait là où nous allons arriver. Les camerounais ont besoin de s’exprimer, de montrer qu’ils ne sont pas d’accord avec ce système de gouvernance.

Prosper Nkou Mvondo, Président parti Univers : « Il s’agit là de méthodes des années « 30 »

Je suis venu de Ngaoundéré pour participer à une réunion du Mrc. Je tiens à répéter qu’un Monsieur de 83 ans ne peut pas gouverner ce pays. Vous voyez les méthodes  des années 30 que nous vivons aujourd’hui. Des citoyens veulent se réunir pour discuter entre eux, on nous empêche de le faire. C’est une honte pour notre République et nous disons « tout sauf Paul Biya » Il partira au besoin par la petite porte. Il libérera le Cameroun. 

mercredi, Mar 30 2016

Des forces de l’ordre  abusent  de leur autorité et brutalisent des  responsables de quatre partis politiques de l’opposition qui voulaient  donner  un point de presse dans  le cadre d’une réunion du Mouvement  pour la Renaissance du Cameroun(Mrc).

mercredi, Mar 30 2016

L’absence de déclaration préalable est à l’origine du pugilat de mardi 29 mars 2016.  Les partis de l’opposition mis en cause dans le pugilat de ce mardi 29 mars 2016 ne diront pas qu’ils n’ont pas été notifiés par écrit de l’interdiction de leur point de presse, assure le sous préfet de l’arrondissement de Yaoundé 4, Locko Motassi Martin.

mercredi, Mar 30 2016

Une conférence de presse de quatre partis de l’opposition s’est transformée ce mardi 29 mars 2016 en pugilat. Et plusieurs arrestations.

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