en Suisse, ce n’est pas certainement le 22 octobre qu’il comptait fouler le sol de Yaoundé. Il a été contraint pas ce maudit accident de train qui a fait des dizaines de victimes et dont l’ampleur commandait qu’il sauve la face de président, en revenant quand même. Mais il serait davantage fâché parce que les premières informations ne concluent pas à un vulgaire accident, comme on en enregistre tous les jours. Mais qu’il faut y voir aussi des défaillances humaines. Paul Barthélémy Biya Bi Mvondo compterait en profiter sévir, selon les mêmes informations. Et c’est la peur qui gagne le sérail. Parce qu’il pourrait bien y avoir des «dégâts collatéraux». On annonce dans la même foulée que Vincent Bolloré, le patron suprême de Camrail, à Etoudi. Il parait qu’il vient proposer des mesures de colmatage à Biya, comme par exemple la nomination d’un Dg qui soit camerounais, entre autres gadgets de pacotilles dans sa gibecière.